Mais ils sont ensuite rassurés par notre logique lorsqu’ils constatent que le ruisseau, le chéneau, le caniveau, le seau, le bateau, le radeau, le maquereau, le carpeau, le château (d’eau) sont en
conformité avec l’écriture de leur liquide essentiel.
Jusqu’au jour où ils s’aperçoivent, sans que ce soit la faute à Rousseau, que lavabo, cargo, canot,
aviso, lamparo, Calypso ne bénéficient pas de l’eau courante.
En concluent-ils que le français va à vau-l’eau ?
René Dentin
Président SIEP